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Concours scolaire Philipe Senghor : les meilleurs primés !

 

concours scolaire
concours scolaire

Le concours scolaire Philipe Senghor existe  2006. C’est un concours franco-sénégalais qui cherche à  promouvoir la langue française. Il est bien apprécié parce qu’il permet de regrouper l’ensemble des pays francophones. Huit lauréats sont primés cette année, les trois premiers proviennent de la région de Tambacounda.

Pour l’ex-ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, Ila langue française est un aspect  pratique important. Il estime que l’on doit promouvoir davantage cette langue.

En tout cas, le concours a rendu un hommage posthume à Philipe Senghor, » parce qu’il mérite absolument l’honneur »a fait savoir Joseph Pierre Ndiaye le Dc du ministre de l’éducation.

 

 


Changement climatique: l’île de France au secours du conseil régional de Dakar

  

conseil régional de dakar
conseil régional de dakar

C’est dans le courant du mois de jui qu’on a lancé officiellement le plan climat territorial intégré de la région de Dakar. Le PCTI de la région de Dakar a un double objectif : permettre au conseil régional de Dakar de fédérer tous les acteurs du territoire ; au premier rang desquels les collectivités locales infra-régionales et l’Etat-autour des enjeux climatiques et placer au cœur de son action la question du développement.

Un plan climat doit permettre d’identifier les différences sources d’émissions de gaz à effet de serre, de mettre en évidence les moyens de les réduire tout en luttant contre les effets du changement climatique. Pour le président du conseil régional de Dakar, Ousmane Samb, le conseil régional de Dakar a décidé d’agir dans le cadre d’une démarche participative en rapport avec les autres partenaires. Il a tenu ses propos, à l’ouverture officielle du PCTI.

Selon lui, l’objectif du PCTI est d’inscrire la question du climat au centre des débats. « Notre région est confrontée à des problèmes » dit-il. Il estime que le lancement du PCTI est le fruit d’une coopération avec l’île de France.


Droit à l’alimentation : les Nations Unies pressent les gouvernements africains

  

experts africains
experts africains

Benjamin Hounton, représentant régional adjoint pour l’Afrique de l’ouest du haut commissariat des Nations-Unies au droit de l’homme invite les États africains à respecter les engagements  découlant des instruments internationaux

Le rapporteur  spécial des Nations-Unies a convoqué une réunion le mois dernier à Dakar pour discuter du droit à l’alimentation. C’était une réunion conjointe  avec le haut commissariat au droit de l’homme (HCDH) et l’organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao). « Les États ont l’obligation et le devoir en vertu du droit international, de respecter, de protéger et de mettre en œuvre les engagements découlant de ces instruments internationaux. Ainsi, les États s’engagent à mettre en place des mesures et législations nationales compatibles avec leurs obligations et devoirs découlant de ces traités et démontrent leur détermination à œuvrer pour rendre la jouissance effective par les populations de tous les droits reconnus universellement et garantis par les instruments nationaux, régionaux et internationaux » a soutenu Benjamin Hounton, représentant régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest du haut commissariat des Nations-U.Il a tenu ses propos aujourd’hui, à l’ouverture officielle de la réunion d’experts sur la mise en œuvre au plan national du droit à l’alimentation en Afrique de l’Ouest.

Pour le représentant régional du haut commissariat des Nations-Unies, le droit à l’alimentation qui est une composante essentielle des droits économiques et sociaux va occuper pendant deux jours les experts ici présents dans la capitale sénégalaise. Il a fait savoir que ces derniers vont s’entretenir de son importance et des défis qui accompagnent sa mise en œuvre.

Toutefois, il a rappelé l’importance pour les États de remplir leurs obligations découlant des instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme en s’appuyant sur les recommandations des mécanismes des droits de l’homme de l’Onu. Selon lui, il est nécessaire de s’inspirer dans l’élaboration et la mise en œuvre des documents de politiques publiques avec l’appui des partenaires au développement. Pour cela, il laisse entendre que «  le HCDH et la FAO en partenariat avec les acteurs étatiques et non étatiques poursuivront le travail de sensibilisation et de plaidoyer pour une prise en compte effective du droit à l’alimentation dans les stratégies nationales de développement économique et social.

 


Vers une sensibilisation des jeunes au métier d’entrepreneur: explication Pape Landing Mane, Président du CJD

 

Abdoul Mbaye premier ministre du Sénégal
Abdoul Mbaye premier ministre du Sénégal

Pouvez-vous nous expliquer le CJD?

Le CJD est un mouvement de jeunes dirigeants (chefs d’entreprise et cadres dirigeants), représentatifs du tissu économique et qui défendent l’idée d’un libéralisme responsable. C’est aussi un lieu où les jeunes dirigeants viennent rompre leur isolement, se former, progresser et faire des propositions pour la promotion de entrepreneuriat. Ce mouvement existe aujourd’hui dans plus de treize pays à travers les 3 continents (Afrique, Amérique du Nord et l’Europe). Bientôt le CJD sera présent en Asie.

Au Sénégal où l’association existe depuis mai 2011, nous avons beaucoup travaillé sur la promotion de entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes qui vient de s’achever avec le Congrès National « Entrepreneuriat et Développement » présidé le 14 Juin dernier par M. Abdoul MBAYE, Président de la République du Sénégal.

Ce mandat vient d’être bouclé par la course de l’entrepreneur, organisée ce samedi 29 juin 2013 qui consistait à mettre en équipe un élève, un étudiant et un entrepreneur en vue de retracer toutes les étapes de création d’entreprise, de mise en place d’un business plan et de recherche de financement.

Comment êtes vous arrivé à mettre sur pied le CJD

La création du CJD au Sénégal est l’œuvre de l’ancien président du CJD International Zakaria FAHIM qui a dû torde la main à l’ancienne présidente du CJD Sénégal pour venir lancer le CJD en Avril 2011. En effet, Ndeye Marième était très active dans le mouvement associatif a été mis en relation avec Zakaria par le biais de sa patronne.

Depuis sa création, nous ne cessons de mener des activités pour la promotion de entrepreneuriat, notamment auprès des jeunes par le biais du mandat 2011-2013 était « Jeunesse et Leadership : Osez Entreprendre »

Nous continuons dans cette lancée et entendons massifier le mouvement et en faire une force de propositions qui se fera entendre sur toutes les problématiques ayant trait à entrepreneuriat et à la vie économique et sociale du Sénégal.

Est-ce que les jeunes d’aujourd’hui ont une culture de l’entrepreneur ?

De part les différentes actions menées par le CJD, nous avons pu constater un regain de cette culture d’entreprendre au niveau des jeunes, mais malheureusement inhibée par l’accès au financement. Et donc depuis lors nous ne cessons de sensibiliser les jeunes à vaincre la peur et entreprendre. Nous avons eu à faire, une caravane « SAGA AFRICA » de Dakar à Casa en passant par Nouakchott, Dakhla et Marrakech pour amener des jeunes porteurs de projets au salon « HUB AFRICA » des entreprises et des entrepreneurs africains. Au retour de notre caravane, certains de ces porteurs de projets ont créés leurs entreprises.

Par ailleurs en collaboration avec la communauté Android Creative Touch pour le concours de création d’applications pour smartphone, nous encadrons des jeunes dans la réalisation d’un business modèle de leurs projets.